ASSE: entre parties FIFA et veilles silencieuses du stade


Des rencontres sans micro avec les joueurs aux nettoyages nocturnes invisibles, explorez l’ASSE à travers ceux qui tissent du lien ou préparent l’essentiel, loin des projecteurs.

Manettes en main, balais en silence: deux visages inédits de l’ASSE

L’univers d’un club de football ne se limite jamais à ses résultats, ni même à ses joueurs. À l’AS Saint-Étienne, il existe des moments suspendus, loin des tribunes pleines et des conférences de presse, où le lien entre humains et institution se tisse autrement. Dans les coulisses de l’ASSE le site non officiel, deux réalités opposées mais complémentaires apparaissent : celle du jeu virtuel partagé, et celle du travail invisible mais essentiel.
D’un côté, une soirée informelle : des journalistes d’AsseActu retrouvent quelques joueurs du club autour d’un écran, pour un match de FIFA. Pas de micro, pas de consigne, juste des manettes, des rires, et parfois un défi personnel lancé à l’écran. Une bulle ludique où l’on découvre autrement ceux qui, le dimanche, doivent tout donner. Une façon de connecter autrement, dans la légèreté.
De l’autre, une scène bien plus discrète : les agents d’entretien du stade, ceux qui œuvrent à l’aube ou tard dans la nuit. Ils balaient les gradins, nettoient les vestiaires, vident les poubelles — pas pour être vus, mais pour que tout soit prêt. Le match commence souvent pour eux bien avant les joueurs. Et se termine bien après les derniers chants.
Dans ces deux dimensions, sans prestige ni artifice, se cache quelque chose de précieux : la vérité d’un club. Celle qu’on ne raconte pas souvent, mais qui fait tenir l’ensemble.

Manettes vertes et connexions vraies: quand AsseActu joue FIFA avec l’ASSE

Le football ne se vit plus uniquement sur le terrain. À l’AS Saint-Étienne, une initiative originale a vu le jour ces derniers mois : des rencontres informelles entre les journalistes d’AsseActu et quelques joueurs du groupe pro autour de parties de FIFA, organisées la veille de certains matchs. Ni interview classique, ni contenu marketing déguisé, ces sessions se veulent libres, spontanées, et surtout humaines. Un moment à part où le stress retombe, où les rires prennent la place des briefings, et où le lien se crée, sans micro ni flash.
C’est dans ces instants que l’on capte une vérité rare : le joueur redevenu gamin devant une console, le journaliste sans rôle de commentateur, le club débarrassé de ses codes. On parle de tout, sauf du match. Et pourtant, c’est là que l’on touche parfois au plus vrai. Voici comment ces soirées gaming se structurent, et ce qu’elles permettent de révéler, au cœur du dispositif officieux de l’ASSE le site non officiel :

Élément de la session FIFA AsseActu / joueurs    Fonction et impact dans la dynamique club / média / humain

Composition des équipes avant le match    Chaque joueur sélectionne librement son effectif FIFA ; certains choisissent l’ASSE, d’autres prennent le Real ou l’OM — un clin d’œil révélateur.

Ambiance sans protocole ni diffusion directe    Aucune captation officielle : cela permet aux échanges d’être spontanés, sans crainte de reprise ou de récupération médiatique.

Mixité dans les binômes manette en main    Un joueur avec un rédacteur, ou deux joueurs ensemble : les configurations changent à chaque session pour renforcer la proximité.

Défis ou paris symboliques avant le coup d’envoi réel    Un but virtuel donne droit à un maillot offert, une célébration spécifique peut se retrouver mimée le lendemain en match… quand les caméras ne regardent pas.

Discussion libre entre les matchs    Entre deux parties, les langues se délient : on évoque les préparateurs, les chants des tribunes, les souvenirs d’enfance… souvent plus que dans une interview.

Récit de la session publié sur AsseActu.fr    Le lendemain, un résumé libre est rédigé, dans un ton narratif : anecdotes, réactions à chaud, moments drôles… sans filtre et sans "officiel".

Maintien du rituel à intervalles irréguliers    Ce n’est pas un rendez-vous imposé : il a lieu quand l’envie se manifeste des deux côtés. Ce qui renforce l’authenticité du moment partagé.


Ces moments de jeu ne sont ni anecdotiques, ni simplement ludiques. Ils incarnent une autre façon de parler football, hors tension, dans la dérision, dans l’écoute, dans l’humain. Un joueur qu’on affronte à FIFA devient soudain accessible. Un journaliste qui perd 4–1 devient un interlocuteur plus proche.

À Saint-Étienne, ce n’est pas seulement le ballon qui unit. Parfois, c’est une manette posée entre deux chaises. Et quelques cris de victoire au beau milieu d’un vestiaire vide.

Silence et propreté: ceux qui préparent Geoffroy-Guichard pendant que tout le monde dort

Avant que le public ne chante, que les joueurs ne courent, que les caméras ne s’allument, le stade vit déjà. Mais pas comme on l’imagine. À Saint-Étienne, la veille des matchs, quand la nuit est bien installée et que tout semble figé, une autre équipe prend le relais : celle des agents d’entretien, des techniciens de surface, des petites mains qui effacent la veille pour que le lendemain brille. Ils ne sont jamais applaudis, rarement photographiés, et pourtant leur travail façonne la première impression, la base de l’expérience.

Ceux qui nettoient les gradins de Geoffroy-Guichard, qui désinfectent les vestiaires ou qui polissent les sols du tunnel n’ont pas d’horaires de match. Leur coup d’envoi se situe autour de 23h30, quand tout le monde rentre chez soi. Voici ce que révèle le regard documentaire posé par ASSE le site non officiel sur ces hommes et femmes de l’ombre :

Arrivée dans le stade vide, souvent après 22h
 Le calme règne, seule la lumière de service éclaire les travées. On entre avec un badge, une routine bien rodée, et toujours en silence.
Nettoyage méthodique des sièges et escaliers
 Chaque rangée est brossée, lavée, séchée à la main. Des objets oubliés sont récupérés : écharpes, bouchons d’oreilles, dessins d’enfants… parfois conservés.
Traitement des vestiaires selon un protocole stricte
 Le carrelage est désinfecté, les bancs sont essuyés, les bouteilles alignées sont retirées, parfois avec un respect presque cérémonial pour ce lieu du "sacré sportif".
Désodorisation des couloirs et des zones presse
 Les zones que le public ne voit jamais — salle des officiels, mix-zone, escaliers internes — sont parfumées, lavées, vérifiées, sans qu’on y pense jamais.
Inspection des tribunes pour éviter tout oubli
 Un chewing-gum collé sous un siège, un tag discret, une tache sur un mur… chaque détail est signalé, documenté, corrigé. La propreté est une forme de respect invisible.
Pause rapide autour d’un thermos de café
 Entre 2h et 3h du matin, un instant de répit partagé entre deux agents, assis sur un siège en tribune latérale, en regardant le terrain vide, toujours intact.
Départ avant le lever du jour, sans croiser personne
 Le stade est prêt. L’odeur du propre est encore là, mais il n’y a aucun témoin. À 6h, quand les premiers employés du club arrivent, tout semble “naturellement propre”.

Ce que ces travailleurs apportent, ce n’est pas seulement un stade propre. C’est un lieu de football respecté, soigné, prêt à vibrer. Ils ne font pas partie du onze de départ, mais leur mission en est la condition invisible.

Et dans les reportages d’ASSE le site non officiel, ce sont justement ces gestes silencieux que l’on choisit de raconter. Parce qu’un club, ce n’est pas que l’histoire de ceux qui marquent. C’est aussi celle de ceux qui préparent, effacent, recommencent, sans jamais être vus.

Conclusion: dans le jeu ou dans l’ombre, l’ASSE respire grâce à ceux qu’on ne filme pas

Qu’il s’agisse d’un match de FIFA partagé entre joueurs et journalistes, ou d’un couloir de tribune frotté à 2h du matin, l’AS Saint-Étienne se révèle bien au-delà de son effectif et de ses résultats. Elle vit aussi dans ces gestes déconnectés du score, dans ces moments sans public, dans ces liens humains qu’aucun communiqué n’évoque.
Ces deux réalités, si différentes en apparence, racontent pourtant la même chose : un club, c’est une communauté élargie, faite de sourires sans projecteur et de travail sans reconnaissance immédiate. Les parties de jeu permettent de désarmer les rôles habituels. Le nettoyage de nuit redonne au stade sa dignité silencieuse. L’un relie, l’autre prépare. L’un détend, l’autre redonne forme. Les deux soutiennent.
Et dans ce double récit proposé par ASSE le site non officiel, ce que l’on perçoit, c’est une vérité essentielle : le football n’est jamais que du football. C’est du lien, du soin, du temps donné. Et parfois, ce que l’on ne voit pas fait davantage pour un club que ce que l’on montre en direct.


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