Les jeudis de perpignan

Tous les jeudis du 14 juillet au 25 août

Rues et places du cœur de ville

A partir de 18h

Dès le 14 juillet, Voici venu le temps des « jeudis » exubérants… 

A peine 18h résonnent-elles, nous voici plongés dans un tourbillon étourdissant, allant d'étonnement en surprise et de sourire en rire. Car les Jeudis, à Perpignan sont ainsi, que l'on y voit son plaisir augmenter crescendo, au fil des personnages pittoresques que l'on croise, des machines invraisemblables et délirantes que l'on découvre, des déambulations que l'on traverse, ou réciproquement, des scènes musicales qui rythment le cœur de la ville, des jeux pour enfants ou de ces arts de rue qui nous étonnent autant qu'ils nous ravissent.

Dans ce tourbillon, quoi de plus sublimement agréable que de se laisser porter par le flot de nos émotions, d'aller le nez au vent ou de nous installer confortablement sur une terrasse pour picorer un spectacle ou un concert, partir dans un inextricable fou rire devant une extravagante cohorte déambulatoire, rêver de hauteur en admirant des acrobates totalement perchés, ou bien encore s'imaginer aussi agile que ce jongleur qui nous fait tourner la tête ... Autant de raisons de ne pas bouder son plaisir, pour bouger, sauter d'une rue à l'autre, d'une place à l'autre, juste pour profiter d'un instant volé ou d'un moment dans son intégralité.

Puis, alors le soleil baisse le rideau, que les ombres nous embrassent de leur fraîcheur, se déploie dans les rues en un rien de temps un barnum géant à ciel ouvert, un cabaret fabuleux où chacun est libre de venir piocher ce qu'il aime, ce qui l'attire, un endroit sans limite, sans frontière, où toutes les curiosités sont satisfaites, où le partage est la règle d'or.

Une promenade curieuse que l'on fait durer, pour le plaisir. Et si l'on se quitte, finalement, passé minuit, un peu tristes et, déjà, un peu nostalgiques, tout cela ne dure pas car, qu'on le veuille ou non, ce qu'il y a de bien avec les jeudis, c'est qu'il y en a un chaque semaine. Car au centre du monde, jamais la fête ne se termine vraiment !...